Grosse déception pour cette sortie de fin d'année ....... L'article va être court !!

Le 8 juin dernier, nous avons emmené les enfants dans un manoir où ils devaient apprendre à faire du beurre, de la laine, participer à un atelier sur le lin et voir un spectacle médièvale.

Finalement, les enfants n'ont eu que des explications orales du "comment on fait", ils n'ont participé à rien, et ils n'avaient le droit qu'à une seule chose : se taire et écouter !!

Quant au spectacle .....pffff, rien de transcendant !! Encore une fois, on devait se taire pour avoir beauuuucccooooooouuuuupppp d'explications pour peu d'actions.

Nous devions être à l'intérieur d'après les renseignements obtenus lors de la réservation. Bah non, c'était à l'extérieur, nous avons eu très très froid. Même pour manger, une tente par assez grande pour accueillir tout le monde...

Sans parler du manoir (en photo) qui ne se visite pas !!

Bref, nous n'y retournerons JAMAIS !!!!!!

Les séances de poneys ont ravi les enfants.

Malgré l'appréhension de certains, on peut dire qu'ils ont tous apprécié.

Chaque séance comprenait 2 ou 3 ateliers.

La maîtresse s'est occupée de toute la théorie autour du poney : les différents lieux d'un poney-club, les différentes robes des poneys en passant par le matériel servant au pansage (les brosses, la selle ...)

L'animatrice du poney-club s'occupait de faire monter les enfants sur les poneys. Ils ont appris à diriger le poney par le biais de jeux. Ils ont fait du trot : grand moment de rigolade !! Nous avons été faire une promenade dans le village. Les enfants ont pu se rendre compte que les poneys ont aussi leur caractère et leurs querelles, il y a certaines séances où des poneys ne s'entendaient pas du tout et cherchaient à se mettre des coups de sabots !

Le troisième atelier était principalement géré par une jeune (fille de ma collègue) qui fait de l'équitation, elle a appris aux enfants à nettoyer/curer les pieds des poneys. Elle a organisé une séance sur l'attelage, c'était très sympa. Quand cette jeune fille n'était pas là (elle est AVS), c'était notre EVS ou moi qui prenions en charge un groupe pour faire des jeux.

Les enfants ont eu le plaisir de repartir avec un fer à cheval la dernière séance !

J'arrive à l'école à 8h40.

Je prépare mes affaires pour le cross. Il y a du soleil, je me pose la question de savoir si je prends mon vêtements de pluie.

Je prends un change et des lingettes au cas où !

La maîtresse arrive, elle prépare les dossards et les épingles.

Quand les enfants arrivent, nous sortons pour l'accueil.

Une fois en classe, nous attachons les dossards sur les vêtements. Nous envoyons en même temps des enfants aux toilettes.

A 9h30, tout le monde est prêt. Les enfants prennent leur sac et se rangent. Nous montons dans le car.

A notre arrivée, nous profitons des vestiaires : le cross se déroule sur le stade de foot.

Les enfants de l'autre école arrivent. Très rapidement, nous plaçons les enfants par groupe : GS ; CP ; CE1 ; CE2 ; CM1 ; CM2.

Je suis avec la maîtresse (on ne change pas une équipe qui gagne !), nous devions nous occuper des CP, finalement, nous avons les GS. Je suis contente, j'ai mes 4 loulous !! Quand on arrive vers les GS, c'est ... comment dire ... le  bordel  bazar ! Mes 4 loulous se tiennent tranquilles mais alors ceux de l'autre école (une bonne dizaine) courent dans tous les sens. La maîtresse et moi leur demandons de s'arrêter, ils s'en fichent. J'en attrape 2 ou 3 "au vol" pour les retenir. La maîtresse les fait s'asseoir aussitôt par terre pour qu'ils se calment.

Les GS garçons sont les premiers à courir, il faut donc les échauffer. Ils courent un peu, sautent, font des mouvements. Nous retirons les pulls et nous nous rendons au point de départ. Un enfant est chargé de montrer le chemin, il fait le parcours en vélo, les GS regardent (ou pas d'ailleurs...).

La maîtresse et moi devons courir quelques mêtres avec eux pour qu'ils ne partent pas à toute vitesse. Nous tenons une corde et ils doivent courir derrière.

Le sifflet de départ retentit. Nous nous élançons. Très vite, les GS commencent à pousser sur la corde pour aller plus vite... Au bout de quelques mêtres, nous laissons tomber la corde. Moi je m'arrête, cela fait des années que je n'ai pas fait de sport et je le sens !!! La maîtresse continue pour les diriger.

Quand j'arrive à l'arrivée, la course est déjà terminée : ça court vite à cet âge !! Je croise le grand frère d'un de mes GS qui me dit que son petit frère est le 1er !!! Je suis trop fière et vais le voir de suite. J'apprends qu'un autre de mes GS est 3ème ! Le 4ème est aussi un de mes loulous !! Trop trop fière l'ATSEM. Le dernier de mes GS est quand même 6ème.

C'est ensuite le tour des GS filles. Même principe, elles ne sont que 4, alors la maîtresse part seule pour courir.

Nos victoires :(les 3 premiers sont récompensés)

GS : 1er / 3ème

CP garçons : 1er

CP filles : 1er

CE1 garçons et filles : un peu dans les choux !!

CE2 garçons : 1er

CE2 filles : 2ème

CM1 garçons : 1er / 2ème / 3ème

CM1 filles : 2ème

CM2 garçons : c'était très bien parti, un de nos garçons était 1er, malheureusement, les CM2 de l'autre école n'ont pas été très corrects et lui ont fait des doigts d'honneurs, ça l'a découragé et mit en colère.

CM2 filles : une de nos filles s'est tellement donnée (pour son lapin mort le matin même) qu'elle a fait un léger malaise à l'arrivée. Elle est quand même arrivée 6ème.

Les courses se succèdent, nous encourageons. Mais le groupe de GS ne tient pas du tout en place, ils se battent, n'obéissent pas. Je commence à en avoir marre de faire la police, je demande à la maîtresse s'il est possible qu'on les emmène plus loin pour faire des jeux. Elle trouve que c'est une bonne idée.

Nous faisons le jeu du mouchoirs et le jeu du chef d'orchestre. C'est beaucoup plus gérable !!!

Midi pointe son nez. Nous emmenons le groupe de GS aux toilettes. Aux toilettes, je croise quelques enfants de CM2 qui me racontent ce qui s'est passé. Le garçon de CM2 qui a fait les frais des doigts d'honneur se met à pleurer. Il est réellement bouleversé par cet incident.

De retour sur le terrain, chacun récupère sa classe. Nous retournons aux vestiaires prendre les sacs. Pour le pique-nique, ils peuvent manger avec qui ils veulent, à la condition de se tenir correctement, sinon retour illico-presto auprès de la maîtresse ou moi. Nous, les adultes de notre école, mangeont ensemble. Je déplore que les adultes de l'autre école se soit installés loin de nous...

Pendant le repas, les enfants des deux écoles se mélangent peu. Chaque école occupe un côté du terrain. Une fois le repas terminé, nos enfants ramassent leur papier et jouent tranquillement. L'autre école, c'est différent ...... Ils se farppent avec les bouteilles d'eau, se battent, leur côté de terrain est rempli de papier. C'est assez impressionnant.

Les enseignants de l'autre école finissent par leur faire ramasser les papiers. Ouf !

Mon directeur prend l'initiative de circuler auprès de nos élèves avec un sac poubelle pour qu'ils puissent mettre leur détritus.

Ensuite, nous retournons poser les sacs dans le vestiaire puis nous installons les enfants pour la remise des prix.

Chaque enfant arrivé premier reçoit une coupe. Le 2ème et le 3ème reçoivent une médaille. Ils sont reçus individuellement et sont applaudis. Je déplore une fois de plus l'attitude des élèves de l'autre école qui huent nos éléves.... ainsi que celle de leurs enseignants qui n'interviennent pas.

Pour faire plaisir à tout le monde, tous les enfants reçoivent une médaille mais ils sont reçus par groupe et applaudis en groupe de niveau.

L'après-midi, nous devions faire des jeux les 2 école ensemble. Je ne sais pas réellement la raison mais l'autre école rentre tandis que nous restons sur le terrain.

Nous partageons nos 2 classes en 3 groupes. Le directeur, la maîtresse et moi-même prendrons un groupe.

J'anime l'atelier jeux collectifs. La maîtresse fait des parcours d'athlétisme et le directeur .... je n'ai pas fait attention !!

Chaque groupe passera dans chaque atelier. Nous tournerons tous les quarts d'heure.

Je commence avec le jeu du bérêt. Je ésigne deux enfants qui forment deux équipes.

Ensuite, j'attribue un numéro à chaque enfant. Je fais la même chose pour les 2 équipes.

Puis, je réalise que les petits et les grands sont mélangés... L'EVS me dit que cela devrait s'équilibrer. Ouais, ça m'étonnerait !!

Très vite, je vois que ça ne fonctionne pas, les grands ralent après les petits. J'essaie d'attribuer les mêmes numéros aux petits, et les mêmes numéros aux grands mais c'est pas beaucoup mieux.

Je demande à l'EVS d'aller chercher des plôts. Je décide de faire le jeu de l'épervier.

C'est beaucoup mieux !!

L'heure qui nous restait avant de reprendre le car passe très vite en jouant.

Les 3 groupes ayant tournés sur chaque atelier, on arrête. On range le matériel.

Les enfants vont récupérés leur sac, vont aux toilettes.

Le car arrive. Les enfants montent.

Nous arrivons à 16h à l'école.

Pour terminer la journée, en classe, la maîtresse explique ce que nous allons faire pour la fête des mères puis nous allons dehors prendre les photos qui serviront pour la fête des mères.

Le soleil est enfin de retour même s'il fait frais.

Je suis malade, je tousse, j'espère que cela va passer.

Quand j'arrive à l'école, la maîtresse est déjà là. Je range les peintures, remets le coin regroupement en place.

Les enfants arrivent, je sors dans la cour. A 9h, nous appelons les enfants qui viennent se ranger sous le préau. Tout le monde est là !

Je demande aux GS de sortir la pochette du cartable. Je vérifie si les mots sont signés puis je les envois au coin regroupement pour les rituels.

Je trie les travaux des GS puis les relie.

Les enfants reviennent à leur place, ils colorient le numéro de la date.

Pendant ce temps, je fais 4 paquets avec les lettres de l'alphabet.

La maîtresse me dit qu'elle préfère expliquer le travail avant que je commence car elle a une lecture difficile avec les CP.

Le travail est simple, il faut faire des "f" en cursive et des enchainements de boucles. On s'entraine d'abord sur l'ardoise. Avant que les GS commencent le travail, la maîtresse leur fait une dictée de lettres cursives sur ardoise.

Une fois le travail terminé, je leur donne un paquet de lettres chacun et ils me disent le nom de la lettre. Ensuite, je sors le jeu de topologie.

Pendant que les enfants rangent le jeu, je prépare le goûter, le thé. Les enfants sortent en récréation puis je lave les cuillères et les tables.

Après la récréation, les GS font un travail. Ils doivent compléter des files numériques jusqu'à 20. Pendant qu'ils colorient le travail, je taille les crayons.

Ils peuvent ensuite faire un dessin.

Comme il y a la piscine l'après-midi, la maîtresse arrive pour leur expliquer l'écriture. Ils doivent écrire les mots "des" et "neuve" en attaché.

Cela va rapidement se gâter pour un GS. Il n'est pas concentrer et cela se ressent énormément sur son travail. Je lui donne une ligne d'écriture en plus. Il n'est pas content mais il le fait. Comme le résultat n'est pas extra, je l'envoie voir la maîtresse qui lui redonne une ligne à faire. De retour à sa place, il se met à pleurer. Une fois calmé, il fera son écriture correctement. Comme quoi .... quand on veut, on peut !

Les GS reprennent leur dessin qu'ils rangent juste avant midi.

Avant de partir à la piscine, un dernier travail à faire : entourer tous les "f".

Puis nous partons à la piscine.

A 15h50, nous sommes de retour. Les CP/CE1 finissent le travail pour les uns, rangent leurs affaires pour les autres.

Je donne un mot aux GS qu'ils mettent dans leur pochette.

Nous terminons la journée par une séance de musique où nous écoutons Beethoven et chantons Henri Salvador.

J'arrive à l'école en même temps que le directeur.

En rentrant dans la classe, je remarque tout de suite qu'il y a nettement moins de fourmis. Le traitement fait son effet !

Après avoir descendu les chaises des tables, je taille les crayons de couleurs, fait un peu de rangement.

La maîtresse arrive et me dit qu'elle a eu la maman de notre petite atteinte d'un handicap mental au téléphone : elle s'est cassée le poignet en tombant de vélo la veille au soir, elle a le bras dans le plâtre. Bien entendu, nous accueillerons l'enfant.

J'entends la barrière s'ouvrir, je sors. Une maman souhaite rencontrer la maîtresse, je la fait patienter car elle est au téléphone.

A 9h05, nous rentrons en classe. Je demande aux GS de sortir le livre de bibliothèque de leur cartable, puis ils vont s'installer au coin regroupement pour les rituels.

Pendant ce temps, je prépare la peinture. Un CE1 me demande pour aller aux toilettes, il a envie de vomir. Il vomira mais très peu, il finira la journée sans problème.

La maîtresse explique aux GS qu'ils devront peindre un moment de leurs vacances.

Je les récupère, leur fais mettre un tablier et ils commencent. En général, ils ont beaucoup de mal à peindre leurs vacances, cette fois-ci, aucun problème, ils ont tous des idées.

Quand ils ont terminé, je les envois se laver les mains, puis l'EVS leur fait choisir un nouveau livre à emporter à la maison. Ensuite, ils restent à la bibliothèque le temps que je range la peinture.

Je les rappelle une fois fini et je demande à l'enfant chargé de distribuer de prendre les feuilles de la date, de les distribuer, et de sortir les crayons car je dois aller me laver les mains.

Quand je reviens, je râle car il n'a pas encore commencé à distribuer !

Ensuite, nous faisons une dictée de lettres et de nombres sur l'ardoise.

La maîtresse arrive pour expliquer le travail que je vais surveiller.

Quand tous ont fini, il est déjà l'heure du goûter : compote.

Pendant la récréation, je lave les cuillères et les tables. Je prépare le thé et je sors en récréation. L'EVS et moi passons notre temps à taquiner le directeur ....Il commence à avoir du mal à faire face avec nous 2 !!!

Retour en classe, il reste une compote sur la table : un CP n'est pas venu prendre son goûter car son travail n'est pas fait, la maîtresse me dit que je peux ranger la compote, il n'en aura pas car cela fait plusieurs jours qu'il ne fait pas son travail.

Explication des consignes aux GS : ils devront découpé des images et les remettre dans l'ordre. Un GS est particulièrment pénible, je le reprends plusieurs fois.

Ensuite, ils peuvent faire un puzzle. Le GS pénible continue, je finis par l'isoler dans un coin.

L'après-midi, nous commençons par le travail.

Les GS ont ensuite leur temps libre et ils vont jouer. Le CP qui s'était fait remarqué le matin continue à ne rien faire et il s'attire dans les foudres de la maîtresse qui se met en colère. Elle l'attrape et le traîne/soulève jusqu'à moi en lui disant que puisqu'il ne veut pas travailler, il retourne en GS et va donc jouer. Il n'est pas content, il s'accroche partout où il peut.

Je demande aux GS de ranger pour l'écriture.

J'emmène le CP, ou je devrais plutît dire le traine à la table avec les GS. Il résiste le chameau !! La maîtresse vient le voir et lui répète qu'il restera en GS tant qu'il ne se mettra pas au travail. Il dit qu'il va travailler mais la maîtresse ne lui fait pas confiance, il reste avec moi.

Elle explique l'écriture aux GS, puis apporte le cahier d'écriture du CP : il n'a rien fait de la semaine !! Il doit tout rattraper s'il veut revenir en CP. Quant à moi, je passe mon temps à recadrer mon GS recalcitrant ... Cela commence à m'agacer !

Un fois l'écriture terminée, je fais le jeu de la chenille avec les GS. Il y a anglais ensuite et comme ils sont particulièrement bruyant aujourd'hui, je ne veux pas le faire pendant l'anglais.

L'heure de l'anglais est là, le CP n'a pas fini de rattraper son écriture. Tant pis, il ne fera pas d'anglais et il reste avec moi pour faire son écriture.

Les GS sont vraiment pénible pendant l'anglais, je finis par demander à 2 d'entre-eux, dont le récalcitrant, de mettre la tête dans les bras.

GS 0 - ATSEM 1 !

Quelques minutes plus tard, ils sont tous les deux en train de pouffer de rire !

GS 1 - ATSEM 1 !

Le directeur intervient, ce qui ne les impressionnent pas du tout !

J'interviens juste après, je leur dis que non seulement, ils vont rester encore la tête dans les bras puisqu'ils ne sont toujours pas calme, mais qu'en plus, ils seront punis sur le banc pendant la récréation. Cette fois-ci : ça calme !

GS 1 - ATSEM 2 !

J'aide le CP pour les mots qu'il doit écrire.

Puis, c'est l'heure de la récréation. Je laisse les GS sortir s'habiller.

Le GS récalcitrant reste à sa place. Je lui dis qu'il peut sortir. Il refuse. Je comprends vite que c'est parce qu'il est puni mais je ne cède pas. Je lui dit que s'il ne sort pas de lui-même, je vais le sortir et ça risque bien de mal se passer. Il commence à pleurer. Je lui dis que ça ne sert à rien, il ira sur le banc quoiqu'il fasse. Il ne bouge pas de sa chaise et se met à se frapper. Je hausse le ton et lui demande d'arrêter immédiatement !

Je m'approche de lui et le met debout, il me crie : "Je suis nul. Je suis un bébé."

Il me le répète plusieurs fois dans le vestiaire et les pleurs redoublent d'intensité. Je lui explique le but d'une punition. Il pleure moins et va s'asseoir sur le banc.

Il a fait plusieurs fois des crises comme celle-ci en novembre-décembre. La maman était inquiète et elle avait beaucoup de mal à le gérer à la maison. Elle avait rencontré la maîtresse qui lui avait conseillé d'aller voir un psy, histoire d'avoir son avis.

La maman l'a fait, je n'ai pas eu trop de nouvelles ensuite mais les crises avaient cessé, à l'école comme à la maison.

Pendant la récréation, je parle d'abord du CP avec la maîtresse. Là, une petite de CP tombe, elle part faire le soin, je ne peux pas lui parler du GS.

Au bout de longues minutes, des enfants viennent me voir en disant que la maîtresse veut me voir. Elle se questionne sur la plaie de la petite CP. Je regarde et comme elle, j'ai l'impression qu'il y a des gravillons dans la plaie. Impossible de les retirer avec une compresse. La maîtresse préfère téléphoner à la maman pour au moins la prévenir qu'il faudra surement emmener sa fille chez un pharmacien pour avoir son avis.

Je termine le soin en faisant le pansement pendant ce temps là puis nous rentrons en classe.

Nous continuons nos oeuvres de Magritte puis il est l'heure de partir.

Je surveille en récréation les enfants restant en aide personnalisée.

Quand la maîtresse remonte, elle me dit justement qu'elle vient de discuter avec la maman du GS en lui disant que cela allait bien en classe car la maman a de nouveau des soucis avec son fils. Je lui ai donc raconter l'épisode d'aujourd'hui en lui expliquant que je n'ai pas pu lui dire avant.